Marc BOISSON écrit depuis le tournant du siècle. Enseignant d’espagnol au début de sa carrière, il a vécu et travaillé au Pérou, à Madagascar, au Brésil et au Mexique.
Il a exercé diverses fonctions dans le réseau des Alliances françaises avant de rejoindre la Fédération internationale des professeurs de français à Paris puis Réseau Canopé au Futuroscope.
Né en 1962, il se partage entre le vingtième et le vingt-et-unième siècle et entre la France et le Pérou.

Son inspiration littéraire est intimement liée à l’Amérique latine.
Son premier roman, Vox Latina, se déroule en France mais aussi en Argentine et au Pérou.
La liberté même tardive, une co-écriture, est tout entier dédié au Brésil.
Il est mort Jim parcourt bancs et faubourgs de Lima.
Avec Ca n’intéresse personne, il voyage dans l’éclatant Mexique.
Son dernier roman, Le piano, est lui un chemin musical, l’histoire d’une étrange métamorphose.

Il est mort Jim

Il est mort Jim

C’est l’histoire d’un chemin spirituel, celui de Jim Rosso. Professeur d’histoire à l’Université catholique de Lima, il décide d’effectuer une dernière recherche, celle qui va le mener à explorer la vie après la mort. Agnostique, il n’imaginait pas qu’il allait être conduit à réviser de fond en comble sa vision de l’existence.

Ça n’intéresse personne

Ça n’intéresse personne

Un prêtre hors du commun enquête de nos jours sur l’apparition la plus extraordinaire de la Vierge Marie. Elle se produisit en 1531 au Mexique, un pays à la magique démesure.

C’est peu dire

C’est peu dire

Le piano  p. 77 (manuscrit en quête d'éditeur) Simon Brocas, après avoir été frappé de mutisme, se rend à l'Ile Saint Honorat pour une retraite. Il y rencontre le frère José Rabalnesco, qui...

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Le piano 🎹 p. 77 (manuscrit en quête d'éditeur)

Simon Brocas, après avoir été frappé de mutisme, se rend à l'Ile Saint Honorat pour une retraite. Il y rencontre le frère José Rabalnesco, qui n'est pas un inconnu...

Au soleil ombragé du jardin du cloître où il aimait débuter les après-midis, il repensa à l’accueil chaleureux du prêtre à sa musique. « C’est peu dire que tu as un bon niveau. Je pense plutôt que tu as celui d’un virtuose ». Il avait ajouté, avec des étincelles de feu jupitérien dans les yeux, qu’il n’était plus question de parler d’autre chose que de miracle. « Un miracle, qu’il faudrait d’ailleurs peut-être déclarer au Vatican ». « Mais » ajouta-t-il :
- Il faut te garder de l’illusion de la gloire. C’est un poison pour l’âme. Comme le dit L’imitation du Christ, « se […] prémunir contre la vaine gloire. Car nous avons plus d'empressement à chercher Dieu, qui voit au fond du cœur, quand les hommes au dehors nous rabaissent et pensent mal de nous. ».
Rabalnesco recouvrit alors le piano, avec toute la considération qu’il avait à l’évidence pour l’objet, et dit encore :
- Et il ne faut pas te demander ce qu’on peut faire pour toi mais ce que tu peux faire, toi, pour nous.
Il laissa son « hôte » à la sortie de l’église.
- Au-revoir Simon Brocas, n’oublie pas ce que je t’ai dit.

Des fougères, plantées dans un recoin, frémirent lorsqu’il s’éloigna.

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