Il est mort, Jim – 6 / Pour en savoir plus

La Plaza Matriz où Jim meurt au début du roman à 83 ans :

Plaza Matriz El Callao Callao – Lima                                                                   Pour la visiter 

Les niches du cimetière José Baquíjano y Carrillo  :

Cementerio Baquíjano Callao

Callao – Lima

Pour visiter la place principale de Villa El Salvador 

Le groupe de théâtre Yuyachkani

Le sentier occulte



Parque Kennedy-Miraflores-Lima

En 1986, lorsque je suis arrivé à Lima, le mouvement maoïste, dirigé par Abimael Guzmán, le « Président Gonzalo », s’infiltrait dans la ville. Comme je le raconte dans Il est mort, Jim, je suis un soir tombé sur des tanks au hasard d’une rue. Gare à ceux qui circulaient après l’heure du couvre-feu. Le Sentier Lumineux paraissait une pieuvre aux tentacules invisibles. On ne le voyait pas mais on en entendait parler sans cesse. Les coupures d’électricité, les assassinats, les petits attentats se multipliaient.

La cuisine de Lima et le saut du moine

Première rencontre avec la cuisine péruvienne dans l’extrait de Il est mort, Jim du dimanche 14 juin.

Je suis arrivé pour la première fois à Lima une belle journée d’avril 1986. J’avais 23 ans, le puissant Boeing 747 m’avait arraché d’Europe pour la première fois. Je suis allé manger, dès ma sortie de l’aéroport, un cebiche (j’en parle dans le roman) dans un endroit qui s’appelle El salto del Fraile.

Je n’ai pas du tout aimé le film La prophétie des Andes

On y voit que le cinéaste n’est pas allé plus loin qu’une Californie de carton-pâte pour représenter le Pérou. Mais cette déclaration de l’auteur du livre original, James Redfield, m’interpelle : « J’étais parti dans l’Arizona travailler sur La prophétie des Andes. Je n’arrivais plus à écrire, j’étais en panne d’inspiration. J’avais posé mes bagages à Sedona, un lieu réputé pour ses vortex d’énergie.